Madame,
Monsieur,
Au bout d’un quinquennat de
nouvelles désillusions, la crise politique s’est aggravée. Les
scandales provoquent du dégoût. Les masques tombent. Avec votre
bulletin de vote, vous pouvez tracer un autre chemin, loin de la
casse sociale de la droite et des vieilles recettes libérales qui
nous enfoncent dans toujours plus d’austérité et d’exclusion,
loin de la violence de l’extrême-droite...
Loin d’être des professionnels
de la politique, nous sommes des candidats issus du monde du travail,
acteurs des luttes sociales ou écologiques, pour le respect des
droits, pour la réduction du temps de travail, pour la défense du
bien commun et pour un autre développement. Nous sommes portés par
des organisations, des citoyennes et des citoyens qui nous ont
choisis et nous sommes porteurs de la conviction qu’un autre monde
est possible, urgent et nécessaire. Nous sommes des militant-e-s de
l’écologie, de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la
justice sociale et fiscale et nous voulons œuvrer pour une Europe
sociale et solidaire ainsi que pour une VIème République...
Vous l’avez compris, nous sommes
de ceux qui parmi une multitude venant d'horizons différents,
organisé-e-s ou non, membres d'associations, de partis politiques,
d'organisations syndicales, ou simples citoyen-ne-s, soutiennent la
candidature de Jean-Luc Mélenchon à la Présidentielle.
Nous prônons l’unité et le
rassemblement, car nous savons que c’est ensemble, additionnant nos
différences et nos convictions que nous serons les plus forts.
Ensemble, nous pouvons affirmer que
la lutte contre le chômage et la précarité passera par la
répartition du travail et par la transformation de l’économie
pour répondre aux besoins de tous, dans une visée écologique,
sociale et solidaire. Nous pouvons affirmer que la lutte contre le
réchauffement climatique pour préserver l’écosystème dans
lequel nous vivons doit se faire dans un esprit de justice sociale.
Nous pouvons affirmer que les richesses doivent se répartir
autrement en luttant contre la fraude fiscale et la fuite des
capitaux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire