lundi 17 avril 2017

Lutte contre le réchauffement climatique

Si le climat était une banque, il y a longtemps qu’il serait sauvé !
28% des gaz à effet de serre proviennent des transports. Pour sauver le climat, nous devons investir et encourager les transports en commun :
  • Baisse ou suppression de la TVA
  • baisse des tarifs, voire gratuité (cela existe dans de nombreuses villes : Niort, Dunkerque le week-end et en totalité dès 2018, Tallin en Estonie…)
  • Gestion en Régie publique
  • Gratuité en cas de pic de pollution !

Les politiques suivies actuellement ne sont pas à la hauteur des enjeux de la lutte contre le réchauffement climatique :
  • Par exemple, en 2016, ici, sur notre circonscription Mel a supprimé la gratuité pour les lycéens, chômeurs, bénéficiaires du rsa…
  • Les tarifs augmentent,
  • Les entrées de la métropole sont engorgées matin et soir.
  • Les marchandises voyagent par camion, leur nombre augmente et sature les voie de communication.
Loin de cette vision, nous voulons créer les conditions qui favoriseront le transport collectif. Actuellement, les transports collectifs sont subventionnés à hauteur de 70%), il faut aller plus loin, la gratuité peut et doit être envisagée, car les 30% restants sont à mettre en rapport avec :
  • Le prix de la billettique et des portiques
  • Le prix de la chasse à la fraude
  • La rémunération des actionnaires
N’oublions pas : Celui qui emprunte les transports collectifs rend service à la société et non le contraire !

L’Homme et la planète au cœur de tous nos choix
Relever les défis climatique et écologique (air, eau et sol), c’est faire des choix en faveur des classes populaires pénalisées par les politiques d’austérité, c’est prioriser :
  • les transports collectifs,
  • L’aide à l’isolation thermique des logements,
  • La priorité au ferroutage, et à la voie d’eau
C’est relocaliser l’activité et investir pour ne pas polluer ! Une agence de notation régionale pénalisera l’activité polluante.
C’est développer les énergies alternatives, maintenir une ceinture verte autour des villes. C’est contrer les fermes industrielles, pour une agriculture à taille humaine, favorisant les circuits courts.
C’est sanctuariser les champs captants en y imposant le « bio » pour préserver nos ressources en eau. La production ira dans les cantines de nos lycées par le biais d’une « plateforme régionale d’achats ».
La loi de l’argent pousse à la concurrence et au productivisme, cela ruine la société, condamne l’homme, la santé et l’avenir de notre planète. Ça doit changer !

Députés, nous permettrons les lois qui inverseront les choix pour prioriser social et écologie.

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