Si
le climat était une banque, il y a longtemps qu’il serait sauvé !
28%
des gaz à effet de serre proviennent des transports. Pour sauver le
climat, nous devons investir et encourager les transports en commun :
- Baisse ou suppression de la TVA
- baisse des tarifs, voire gratuité (cela existe dans de nombreuses villes : Niort, Dunkerque le week-end et en totalité dès 2018, Tallin en Estonie…)
- Gestion en Régie publique
- Gratuité en cas de pic de pollution !
Les
politiques suivies actuellement ne sont pas à la hauteur des enjeux
de la lutte contre le réchauffement climatique :
- Par exemple, en 2016, ici, sur notre circonscription Mel a supprimé la gratuité pour les lycéens, chômeurs, bénéficiaires du rsa…
- Les tarifs augmentent,
- Les entrées de la métropole sont engorgées matin et soir.
- Les marchandises voyagent par camion, leur nombre augmente et sature les voie de communication.
Loin
de cette vision, nous voulons créer les conditions qui favoriseront
le transport collectif. Actuellement, les transports collectifs sont
subventionnés à hauteur de 70%), il faut aller plus loin, la
gratuité peut et doit être envisagée, car les 30% restants sont à
mettre en rapport avec :
- Le prix de la billettique et des portiques
- Le prix de la chasse à la fraude
- La rémunération des actionnaires
N’oublions
pas : Celui
qui emprunte les transports collectifs rend service à la société
et non le contraire !
L’Homme
et la planète au cœur de tous nos choix
Relever
les défis climatique et écologique (air, eau et sol), c’est faire
des choix en faveur des classes
populaires pénalisées par les politiques d’austérité,
c’est prioriser :
- les transports collectifs,
- L’aide à l’isolation thermique des logements,
- La priorité au ferroutage, et à la voie d’eau
C’est
relocaliser
l’activité
et investir pour ne pas polluer ! Une
agence de notation régionale pénalisera l’activité polluante.
C’est
développer les énergies alternatives, maintenir une ceinture verte
autour des villes. C’est
contrer les
fermes industrielles, pour une agriculture à taille humaine,
favorisant les circuits courts.
C’est
sanctuariser les champs captants en y imposant le « bio »
pour préserver
nos ressources en eau. La
production ira dans les cantines de nos lycées par le biais d’une
« plateforme régionale d’achats ».
La
loi de l’argent pousse à la concurrence et au productivisme, cela
ruine la société, condamne l’homme, la santé et l’avenir de
notre planète. Ça doit changer !
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